mardi 29 novembre 2016

Sondage



Au vue de leurs derniers loupés (pas vu ni Trump, ni Fillon), les organismes de sondage feraient bien de se faire oublier.

En tout cas, moi je n'y prête plus attention.






dimanche 27 novembre 2016

A voté

Joli ciel en partant :
 Le vote vu par mon bracelet fitbit :

Au retour, il fait presque nuit :




Super aïoli !

Ma super chérie nous a fait un super aïoli pour nos invités de midi, on s'est régalé !






vendredi 25 novembre 2016

Chasse au trésor au cinéma

Ce soir au ciné, surprise, à la place des pubs, un animateur nous a fait une chasse au trésor. Il fallait répondre à des questions sur le cinéma.

J'ai su répondre à l'une d'entre elles, et nous avons gagné plein de babioles : bougie, essuie-téléphone, accessoire de massage, essai de voiture... Rien de bien excitant, mais c'était sympa.





L'ISS en direct

En cliquant sur ce lien : http://www.racineduweb.com/station-spatiale-internationale.php
vous pourrez suivre en direct la Station Spatiale Internationale :
- la situer sur une carte
- voir la terre depuis l'ISS
- et entendre les conversations entre l'ISS et le centre de Houston




jeudi 24 novembre 2016

Hourra !

La superbe (pas de fausse modestie) photo que j'ai prise de Nicolas dans les Calanques a été sélectionnée par le jury, et elle sera donc exposée du 18 au 30 décembre dans la salle Lesdiguières de la Bastille (gare haute du téléphérique), entrée gratuite, mais il faut payer le téléphérique.









mercredi 23 novembre 2016

Interview depuis l'ISS

Incroyable interview de notre spationaute Thomas Pesquet que j'ai suivie en direct (merci la grippe) :





mardi 22 novembre 2016

Ciel flamboyant

Photo trouvée sur facebook, censément avoir été prise dimanche matin :

Mais je ne me souviens pas d'un tel ciel dimanche matin.





Boutique Mariage Frères

Récupérée sur la page facebook de Mariage Frères, cette photo de la boutique Mariage Frères d'origine, rue du Cloître St Merri, à côté de Beaubour :
Et voilà la façade de nos jours (je pense qu'ils ont refait l'immeuble) :





Grippe 1, Hervé 0

Mais je n'ai pas dit mon dernier mot !





lundi 21 novembre 2016

dimanche 20 novembre 2016

Montée (très) matinale au Fort du St Eynard

Montée au fort du St Eynard de (très) bon matin pour voir le lever du soleil. Lever 4h30, rdv 5h30, départ du col de Vence à 6h, arrivée au fort à 7h10.

Au départ, il fait encore nuit noire :
On marche à la frontale : 
Notre guide, Val, se trouve quelque part entre sa frontale (lumière blanche en haut à gauche), et ce que sa frontale éclaire devant elle : 
Sur le parcours, un drôle de muret : 
Le nez d'Olivier, que sa frontale éclaire :
Le ciel bleuit, mais il faut toujours la frontale : 
Presqu'en haut : 
Nous y voilà : 
Grenoble endormie : 
Changement de couleur : 
Nous sommes rejoints par ceux qui sont montés en voiture : 
Un peu de rose : 
Préparatifs : 

Le soleil devrait se lever dans ce coin : 
A St Mury (au centre de la photo, les 10 immeubles identiques dans un triangle rectangle), ça dot toujours : 
Un nuage empêche de voir le soleil : 
Enfin le voilà : 




Allez, je vais faire la sieste maintenant !



vendredi 18 novembre 2016

Expédition 196

Trouvé par hasard le site Internet et la page facebook de cette américaine qui cherche à battre le record du plus grand nombre de pays visités dans le temps le plus court : 196 pays en moins d'un an et demi.

http://expedition196.com

https://www.facebook.com/Expedition196/

Voilà son parcours :
Et voilà où elle en est après 16 mois ; il ne lui en manque pas beaucoup : 

En même temps qu'elle essaye de battre le record, elle véhicule un message de paix avec l'Institut International de la Paix via le tourisme (IIPT).





Joli ciel ce matin





jeudi 17 novembre 2016

Epices

Je n'avais rien de spécial à poster aujourd'hui, donc voici une photo prise il y a déjà quelques temps. Il s'agit d'une photo d'épices prises dans un Super U :
J'aime bien les couleurs.




mercredi 16 novembre 2016

Voleur !

Je viens de voir un corbeau s'envoler de notre balcon, une noix dans le bec. Je n'ai pas pu le prendre en photo, mais voici son forfait :
Puis en promenant Leeloo, j'ai revu mon voleur, que j'ai pu prendre en photo :






mardi 15 novembre 2016

Conférence d'un passionné de montagne

Très intéressante conférence ce soir à la maison des associations : Pascal Sonbardier nous a présenté une sélection de ses meilleures photos de montagne.

C'est celui avec le micro :
Nous sommes à gauche (pull rouge, cheveux blonds) : 
 L'orateur est l'auteur d'une trentaine de livres, dont Chartreuse Inédite et Vercors Secret :
La photo qui illustre Chartreuse Inédite et que je remets ci-dessous est l'exemple typique de sa passion, à savoir rechercher des lieux inconnus, en dehors des sentiers battus :
Il est en permanence à la recherche d'arches, de grottes, de pitons, de vires... et autres lieux insolites et remarquables : 

C'était super !





lundi 14 novembre 2016

Super lune

Vous avez été déçu comme moi par la soit-disant "super lune". J'ai trouvé un super article, peut-être un peu long mais très complet, qui explique pourquoi :


Une super-lune cela n’existe pas !


On parle d’elle à tort et à travers depuis une dizaine de jours, mais la pleine lune de ce soir sera tout simplement aussi belle que les autres de l’année : admirez-la après le coucher du Soleil pour vous en convaincre.
Pleine lune octobre 2016
20161015-pl-grau-du-roi-2500
À l’œil nu, la pleine lune ressemble à une petite bille posée sur l’horizon lors de son lever, même quand elle atteint son diamètre apparent théorique le plus grand depuis des années comme ce lundi 14 novembre 2016. Pour que notre satellite naturel semble plus impressionnant, il convient d’utiliser des jumelles, une lunette ou un télescope pour grossir l’image. Photographiquement, on peut utiliser un puissant téléobjectif pour accentuer le diamètre apparent lunaire par rapport aux éléments de la ligne d’horizon. Sur l’image du haut prise lors du lever de la pleine lune du mois d’octobre et qui montre assez fidèlement ce que l’on pouvait admirer à l’œil nu, la petite dimension apparente du disque lunaire est évidente ; il faut avoir recours à un puissant téléobjectif pour obtenir le cadrage bien plus serré qui apparaît sur l’écran de contrôle du boîtier photographique et sur l’image du bas.
© Guillaume Cannat
Avez-vous vu la Lune hier soir ou ce matin à l’aube ? Sa face éblouissante éclairait joyeusement les nuages qui défilaient autour d’elle, mais elle était d’une dimension apparente habituelle et ne semblait pas sur le point de devenir une méga-super-lune comme on peut le lire en boucle sur la Toile. Et ce soir, si la météo est favorable, vous pourrez faire la même constatation avec la pleine lune qui se hissera au-dessus de l’horizon est-nord-est près d’une demi-heure après le coucher du Soleil : ce sera un spectacle magnifique, mais ni plus ni moins qu’à chaque lunaison, car une super-lune cela n’existe pas ! C’est une notion inventée par un astrologue il y a une quarantaine d’années, maladroitement utilisée par le service de presse de la NASA depuis quelques années et reprise sans discernement par des médias qui ne font pas leur travail d’analyse et d’explication et se contentent de traduire et d’adapter à leur manière des communiqués qu’ils ne comprennent pas toujours très bien.

Notre satellite naturel parcourt une orbite elliptique autour de la Terre : sa distance varie entre 356 410 km et 406 740 km. Le lundi 14 novembre 2016, la Lune passe au plus près de la Terre (périgée) à 11 h 22 m (temps universel), 12 h 22 m, heure de Paris, à un peu plus de 356 500 kilomètres. Plus la Lune est proche de nous, plus son diamètre apparent est grand, mais il reste cependant toujours compris entre 0,48 et 0,56 degré. Au moment de la pleine lune, le Soleil, la Terre et son satellite sont alignés et nous pouvons voir l’intégralité de l’hémisphère lunaire éclairé par le Soleil. Le 14 novembre 2016, la pleine lune se produit à 13 h 53 m TU, 14 h 53 m, heure de Paris. En France métropolitaine, notre satellite naturel se lève près d’une demi-heure après le coucher du Soleil, à l’est-nord-est. Son disque apparent dépasse 33,5 minutes d’arc de diamètre, soit un peu plus de 0,55 degré, il est donc aisément caché par le bout du petit doigt bras tendu : la pleine lune, c’est tout petit dans le ciel !


Je suis un peu abasourdi
 par le « bruit », le « buzz », fait autour de la pleine lune du 14 novembre. Si vous suivez ce blog, vous connaissez ma passion pour le lever du globe lunaire que je vous ai invité de nombreuses fois à guetter ; je vous ai d’ailleurs signalé celui d’aujourd’hui dans un billet récent. Je considère que les levers de la pleine lune sont des instants privilégiés pour déguster sereinement la beauté du monde qui nous entoure et, lunaison après lunaison, je tente de les observer et de les photographier. Contempler l’apparition de la pleine lune ce n’est pas seulement suivre l’éclosion d’un petit œuf lumineux à l’horizon, c’est une ambiance lumineuse très particulière qui évolue selon l’instant où le globe lunaire se hisse dans le ciel, juste avant ou après le coucher du Soleil, et la manière dont l’atmosphère se joue de lui en le déformant et en le parant de teintes crépusculaires ; c’est aussi un instant privilégié pour s’imprégner des variations de l’environnement sonore qui se modifie dramatiquement à la fin du jour selon la saison et selon que l’on se situe en ville ou en pleine nature. Alors, bien sûr, je ne peux que me réjouir de l’incroyable publicité qui a été faite à cette pleine lune du 14 novembre car, si la météo joue le jeu, des centaines de millions de personnes vont sortir pour guetter l’arrivée de notre satellite naturel et vivre un délicieux moment d’astronomie. Le monde entier est concerné… à l’exception des quelques habitants des bases situées en Antarctique !
20160916-pleine-lune-eclipse-aigues-mortes-71-2
Lorsque l’on compose une image du lever de la pleine lune, il faut tenir compte de la distance du premier plan terrestre : plus il sera éloigné du photographe, plus la Lune semblera imposante avec un puissant téléobjectif par rapport aux arbres ou aux bâtiments qui s’y trouvent. Pour prendre l’image ci-dessus, je me tenais à moins de trois kilomètres de la tour de Constance à Aigues-Mortes avec un téléobjectif de près de 530 millimètres de focale, de telle sorte que la Lune présentait sensiblement le même diamètre apparent que le bâtiment. Pour l’image ci-dessous, en revanche, je m’étais installé avec un téléobjectif de 850 millimètres de focale à plus de vingt kilomètres des pyramides de La Grande-Motte et le résultat est bien plus spectaculaire puisque les pyramides semblent écrasées par une énorme pleine lune, mais tout cela n’est qu’apparent, à l’œil nu, la pleine lune n’était dans les deux cas qu’une petite bille posée sur l’horizon.
© Guillaume Cannat
Pourtant, je redoute la déception potentielle de nombre de spectateurs, car la pleine lune de ce lundi 14 novembre ne sera pas aussi incroyablement grande et lumineuse que les illustrations et les explications confuses et parfois erronées de certains sites hautement médiatisés et partagés sur les réseaux sociaux pourraient le laisser penser. Cette pleine lune sera effectivement la plus proche de la Terre pour l’année 2016 et son diamètre apparent dans le ciel sera donc un peu plus grand que lors des dernières lunaisons, mais cette variation de diamètre apparent ne sera absolument pas évidente à percevoir à l’œil nu. Si vous avez vu la Lune encore gibbeuse (ovalisée) du dimanche 13 novembre, celle du lundi 14 ne vous semblera guère plus grande. Si nous pouvions regarder côte à côte sur la voûte céleste la pleine lune d’aujourd’hui et celle du 22 avril dernier, qui présentait le plus petit diamètre apparent de 2016, nous verrions probablement la différence. Mais ce n’est même pas certain car, quel que soit son diamètre apparent théorique, le diamètre apparent lunaire observé au ras de l’horizon dépend de nombreux critères. La réfraction atmosphérique fluctuante peut, par exemple, écraser l’image lunaire, l’aplatir, la déformer dans un sens puis dans l’autre ou la fragmenter, rendant vaine toute estimation sérieuse de sa dimension. Quant à notre cerveau, il nous joue des tours en exagérant systématiquement notre perception de la dimension lunaire au ras de l’horizon.
20111210-eclipse-lune-fsq-106ed-269
Si l’on pouvait admirer côte à côte dans le ciel une pleine lune au plus près de la Terre (périgée), comme ici à gauche, et une autre au plus loin (apogée), la différence de leur diamètre apparent serait visible à l’œil nu. Dans la pratique, il est délicat de mémoriser visuellement une variation du diamètre apparent lunaire d’une pleine lune à l’autre. D’autant plus que le cerveau a tendance à nous jouer des tours en exagérant systématiquement la dimension apparente de la Lune lorsqu’elle se situe à l’horizon. En photographiant, avec exactement le même matériel, la plus petite pleine lune d’une année et, quelques mois plus tard, la plus grande, la différence de taille est en revanche évidente.
© Guillaume Cannat
Si vous vous attendez donc à voir ce lundi soir une pleine lune immenseenvahissant l’horizon et le ciel, vous allez être déçus ! Les inepties qui se sont propagées à la vitesse de la lumière sur la Toile autour de la notion ésotérique de « super-lune » révèlent avant tout le peu de compréhension scientifique de celles et de ceux qui les ont relayées. Il faut dire que l’utilisation inadaptée de cette expression par la NASA depuis quelques années est vraiment déplorable, mais ce n’est malheureusement pas une première pour l’agence spatiale américaine dont les communiqués de presse ne sont parfois pas vraiment à la hauteur des sujets scientifiques qu’ils sont censés présenter intelligemment. Le problème est que, pour les agences de presse et chacun, puisque la NASA parle de super-lune, c’est que c’est une notion scientifique que l’on peut propager !
Notre époque aime le super, le méga, l’extra et l’expression « super-lune » fait sans doute plus rêver que « plus grosse pleine lune de l’année » ou « pleine lune du périgée. » Surtout lorsque les résultats de quelques calculs astronomiques fournis par des observatoires ou des instituts professionnels signalent que notre satellite ne s’est pas situé aussi près de nous lors de sa plénitude depuis plusieurs décennies et que cela ne se reproduira pas avant plusieurs dizaines d’années.Peu importe que les différences de distances entre ces maximums soient dérisoires – quelques kilomètres ou dizaines de kilomètres sur une distance de plus de 356 000 km – et que les différences de diamètres apparents soient ridiculement petites et inconsistantes pour n’importe quel observateur sérieux. L’association de ces calculs officiels extrêmement précis avec une notion aussi floue et non scientifique que celle de « super-lune » a eu raison de la raison.

Voici un time-lapse du lever de la Pleine Lune du mois dernier au-dessus du Grau-du-Roi. Je l’ai réalisé en installant ma lunette/téléobjectif de 530 millimètres de focale au bord de la plage de Palavas-les-Flots, à près de seize kilomètres des immeubles du Grau-du-Roi. J’ai pris un peu plus de 2 images par seconde durant 18 minutes et cette séquence offre une accélération de près de 6 fois de la vitesse du lever lunaire. Au début, la Lune apparaît difficilement au ras de l’horizon à cause d’une forte absorption atmosphérique ; la couleur ardoise de l’ombre terrestre surmontée par le rosé de la ceinture de Vénus vire progressivement au bleu nuit de plus en plus sombre et les lumières de la côte s’allument. Il n’y a aucun filtre ou aucune colorisation, vous pouvez donc apprécier l’évolution de la coloration du globe lunaire lors de son élévation. Remarquez également les déformations que la réfraction atmosphérique impose à la circonférence lunaire : elle semble se tortiller en traversant des strates d’air à différentes températures. Si votre connexion vous le permet, n’hésitez pas à regarder cette vidéo à haute résolution (1440p) en mettant le son pour avoir l’ambiance des petites vagues et des myriades de mouettes qui prenaient un malin plaisir à traverser le champ !
© Guillaume Cannat
L’origine même de la notion de « super-lune » devrait pourtant irrémédiablement faire naître un doute sur le bien-fondé de son usage par des scientifiques ou des services de presse d’organismes scientifiques. Le néologisme « SuperMoon » a en effet été assemblé par l’astrologue américain Richard Nolle qui l’a présenté dans une revue astrologique en 1979 et dans cet article en 2007. Il y expliquait qu’une « super-Lune » était pour lui une pleine lune ou une nouvelle lune se produisant lorsque notre satellite circule au plus près de la Terre – périgée –, entre 90 et 100 % de la valeur minimale du périgée. Avec une définition aussi large il peut y avoir jusqu’à 6 « super-lunes » par an et, de fait, les pleines lunes d’octobre, novembre et décembre 2016 sont soi-disant des « super-lunes ». À ce compte-là, pourquoi ne pas carrément considérer que toutes les pleines lunes – sans parler des nouvelles – sont super ! Cette première partie de la définition n’est pas très sélective, mais c’est justement l’intérêt d’une telle notion pour un astrologue comme Richard Nolle qui l’utilisait pour faciliter la rédaction de ses ouvrages annuels de prédictions astrologiques.
Le problème majeur vient du fait que, pour Richard Nolle, chaque super-lune est associée dans un délai bien pratique de trois jours avant ou après sa venue à des événements extrêmes, comme des tremblements de terre, des éruptions volcaniques ou des tempêtes. Avec une fourchette temporelle aussi large, un astrologue peut régulièrement associer une catastrophe naturelle à une super-lune et donner ainsi l’impression à ses lecteurs de l’avoir annoncée, ce qui lui permettra sûrement de mieux vendre ses ouvrages astrologiques pour l’année suivante ; cette notion de super-lune est donc bien pratique pour les charlatans. Son utilisation irréfléchie en astronomie, simplement parce que cela sonne bien, c’est accrocheur, trouble la frontière qui devrait rester la plus nette possible dans l’esprit de chacun entre les croyances astrologiques et leurs prédictions pour le moins fantaisistes et aléatoires, et la méthode scientifique dont les théories et les calculs rigoureux nous permettent, par exemple, de faire atterrir des sondes sur des comètes à l’autre bout du Système solaire. La force de frappe de la NASA est telle que l’expression « super-lune » va probablement s’imposer, sauf si le public constate qu’une super-lune comme celle de ce soir n’a finalement rien de plus exceptionnel qu’une pleine lune habituelle.
Guillaume Cannat




Ca se présente bien !

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