jeudi 31 décembre 2020

Antibes

 Du 30 décembre au 3 janvier, nous sommes en vacances à Antibes.

En arrivant, nous sommes accueillis par un beau coucher de soleil sur le port :
Un petit tour dans le centre ville :
Le lendemain matin depuis notre appartement, jolie vue sur le port et au loin le massif du Mercantour au-dessus de Nice :

Nous allons faire le tour du Cap d'Antibes par le sentier du littoral :
Une promenade d'un peu moins de deux heures, au départ de la plage de la Garoupe, que voici :
Quelques photos de cette ballade :









Quelques photos prises lors de nos déambulations dans Antibes.

L'Oursin, où nous avons commandé notre repas de réveillon :
La jolie devanture d'un resto italien (fermé cause Covid) :




On s'associe au Chaudron pour vous souhaiter de bonnes fêtes de fin fin d'année.










mercredi 30 décembre 2020

Dernier coucher de soleil de l'année

 En tout cas le dernier vu de la maison, car après on part à Antibes.

C'était donc hier soir :




mardi 29 décembre 2020

TENET

 Vu hier soir le dernier film de Christopher Nolan "TENET".

Dans le film, le méchant s'appelle SATOR, le film démarre par une scène dans un OPERA (celui de Kiev), il y a une entreprise qui s'appelle ROTAS, et un faussaire qui s'appelle AREPO.

Maintenant, regardez ces photos que j'ai prises en 2013 à l'angle des rues Jean-Jacques Rousseau et Grande Rue :


Sachant que le film date de 2020 et mes photos de 2013, comment peut-on expliquer cette troublante coïncidence ?



Au fait, la preuve que j'ai bien pris ces photos en 2013, en allant voir sur mon blog à la date du 14 septembre 2013 :






lundi 28 décembre 2020

Impact

Trouvé je sais plus où ce graphe qui classe de manière décroissante les aliments en fonction de leur impact écologique :
Désolé, je ne me souviens pas à quoi correspond l'échelle des abscisses (20, 40, 60), ni quels sont les éléments pris en compte pour mesurer l'impact écologique.

 


dimanche 27 décembre 2020

Super cadeaux

Cadeau de mes garçons :
Dans des styles très différents, autant que peuvent l'être une bande dessinée et un roman, mais je les recommande tous les deux !

 

Plus con...

 Vu récemment à la une du site de 20 minutes :
C'est l'article en haut à gauche qu'il faut regarder. Je l'agrandis :
Le variant du Covid-19 est donc plus con, c'est dit.

(évidemment c'est "contagieux" qu'ils veulent dire, et la mise en page automatique du site a coupé le mot car il est trop long, mais du coup c'est rigolo)




samedi 26 décembre 2020

C’est malin...

 ... on hésitait entre neige et mer, pour finalement se décider pour la mer, Antibes.

Ben finalement, on aura les deux :
Photo prise hier soir du côté d'Antibes, trouvée sur Twitter.




Vu du ciel

 Quelques photos prises par Google Earth et repérées par des internautes (qui n'ont que ça à faire) :









Regardez bien, il y a une pub Coca Cola dans la photo suivante :




vendredi 25 décembre 2020

Etoile "guide"

Vu sur le site The Conversation :


En cette période de fêtes de Noël, la tradition chrétienne célèbre la naissance de Jésus. Dans cette tradition, les Rois Mages furent guidés vers Jésus par une étoile, décrite par Matthieu dans son évangile. Une enquête entre astronomie, histoire et récits bibliques pour identifier cette étoile nous réserve des surprises. Examinons les éléments du puzzle.

Les Évangiles.

Marc écrit vers l’an 67, Matthieu et Luc autour de 80-90, et Jean peu avant l’an 100. À plusieurs décennies de distance des évènements relatés, il est normal qu’il y ait des variations. Matthieu et Luc sont les seuls qui mentionnent la jeunesse de Jésus.

Matthieu indique que Jésus est né au temps du roi Hérode, et que des mages, alertés par l’apparition d’une étoile, sont venus d’Orient pour voir « le roi des Juifs qui vient de naître » (je cite ici Matthieu). Hérode, renseigné par les grands prêtres et les scribes du lieu de la naissance, demande à ceux-ci de trouver l’enfant à Bethléem. Les mages se remettent en route, guidés par l’étoile, trouvent l’enfant, lui rendent hommage (or, encens et myrrhe), décident de ne pas retourner vers Hérode et de rentrer chez eux. Joseph, prévenu en rêve des desseins meurtriers d’Hérode, prend l’enfant et sa mère et fuit en Égypte. Hérode, comprenant que les mages l’ont trompé, décide de faire tuer tous les enfants de moins de deux ans.

La comète de Halley, est-elle l’astre qui guida les rois mages selon Saint Matthieu ? Ici photographiée par la sonde Giotto, qui passe à seulement 2000 kilomètres, le 14 mars 1986.ESA/MPS, WikipediaCC BY-SA

Luc, pour sa part, indique que Joseph et sa fiancée Marie se rendent à Bethléem, la ville de David, pour se faire recenser. Le recensement est rendu obligatoire par un édit de César Auguste, empereur romain de 30 avant Jésus-Christ à 14 après Jésus-Christ, et eut lieu pendant qu’un certain Quirinius était gouverneur de la Syrie (de 7 av. J.-C. à 2 av. J.-C.). C’est là, selon Luc, que l’enfant naît, et que des bergers, gardant leurs troupeaux durant les veilles de nuit dans la région, sont avertis par un ange de la naissance et se rendent à Bethléem. Ce sont eux qui répandent la nouvelle. Notons que la date du recensement est encore controversée, d’autant que l’entreprise («l’inventaire du monde») prenait nécessairement plusieurs années pour être menée à terme, comme le montrent notamment les travaux de Béatrice Le Teuff.

Des indicateurs historiques

Selon l’historien Flavius Josèphe, dans « Guerre des Juifs », Hérode meurt peu après une éclipse de Lune visible depuis Jéricho, avant la Pâque juive qui a lieu en mars-avril. La seule date qui convienne est l’éclipse de Lune du 13 mars de l’an -4, qui précède d’un mois environ la Pâque du 10 avril de l’an 3757 du calendrier hébraïque. Si Hérode est mort en -4, Jésus n’a pas pu naître en l’an 0. L’ordre donné par Hérode de tuer tous les enfants de moins de deux ans indique, compte tenu d’une marge de sécurité, que la naissance de Jésus date d’environ -5 ou -6.

Dans quel calendrier compter ?

En 525, le pape Jean 1er chargea un moine scythe vivant à Rome, Denys le Petit, d’une réforme calendaire. L’église chrétienne commençait à dominer le monde occidental, et Denys devait déterminer un nouveau cycle des fêtes de Pâques – les plus importantes de l’année. Denys décida de baser le nouveau calendrier sur la date de naissance de Jésus. Pour effectuer ce changement de l’origine des temps, il lui fallut placer cette date dans la chronologie du calendrier romain. Il utilisa pour cela les meilleures données, à savoir la durée de règne des empereurs.

Mais il commit deux erreurs. D’une part, il oublia l’an zéro et passa directement de l’an -1 à l’an +1. D’autre part, il oublia quatre années pendant lesquelles César Auguste régna sous le nom d’Octave. Cela fait au total cinq ans de décalage par rapport à notre calendrier.

Ce n’est qu’en 1605 qu’un érudit polonais du nom de Laurent Suslyga signala l’erreur. S’il n’y a pas d’autres erreurs, Jésus est donc né en l’an 5… avant Jésus-Christ.

Jésus est-il né le 25 décembre ?

Le Christ avec une auréole et les attributs de Sol Invictus, rayons de soleil et chevaux cabrés. Mosaïque de la nécropole sous la basilique Saint-Pierre de Rome, IIIe-IVᵉ siècle apr. J.-C.Wikipedia

Jack Finegan, dans le Handbook of Bible Chronology, indique que la première mention du 25 décembre date de l’an 336. C’est la récupération de la fête, traditionnelle à l’époque, du Sol Invictus ou « Soleil invaincu », puisque le solstice d’hiver marque le début du rallongement de la durée du jour.

Un autre indice réside dans l’indication de Luc concernant les bergers. En décembre, les bergers ne surveillent pas les moutons pendant la nuit, car il fait trop froid à Bethléem qui est à 800 mètres d’altitude. Les bêtes sont remises à paître au printemps, et c’est aussi à cette époque de l’année, où naissent les agneaux, que la surveillance doit être continue. Jésus est donc probablement né en avril ou en mai.

Quelle étoile a alors guidé les rois mages ?

Voyons ce que l’art et l’astronomie nous apprennent.

Dans l’« Adoration des Mages » (1302-1304) qui se trouve dans la Chapelle Scrovegni à Padoue, Giotto a peint une comète. C’est probablement la comète de Halley, qui fut visible en 1301 – et c’est en hommage à cette observation de Giotto que la sonde envoyée par l’Agence Spatiale Européenne à la rencontre de la comète de Halley en 1986 fut nommée Giotto.

La Cappella degli Scrovegni, appelée aussi Église de l’Arena de Padoue. Andrea Piroddi, WikipediaCC BY-SA

Mais cette comète n’est pas un bon candidat. En effet, la comète de Halley revient périodiquement, tous les 76 ans. Elle fut observée du 26 août au 20 octobre de l’an -12 par des astronomes chinois qui consignèrent l’observation. Cette date ne colle pas avec la date de naissance de Jésus.

David H. Clark et F. Richard Stephenson présentent dans leur ouvrage The Historical Supernovae le catalogue de toutes les novae et supernovae observées avant l’invention du télescope. La plupart de ces observations, qui s’étalent entre -532 et l’an 1604, sont dues aux astronomes chinois.

Les novae sont des étoiles dont la brillance augmente très rapidement pendant quelques jours avant de reprendre une valeur normale ; les supernovae sont des étoiles massives qui terminent leur vie en une explosion qui peut les rendre aussi brillantes qu’une galaxie pendant quelques semaines, et qui donnent naissance à une étoile à neutrons ou un trou noir. Parmi les 75 évènements répertoriés par Clark et Stephenson, 8 sont antérieurs à l’année 0 : printemps -532, août-septembre -204, juin-juillet -134, octobre-novembre -77, mai-juin -76, mai -48, juin-juillet -47, et enfin, en mars-avril de l’an -5 !

Cette dernière a été visible pendant plus de soixante-dix jours, et sans mouvement apparent dans le ciel. Le printemps, ça colle ! Voilà donc le bon candidat pour l’étoile de Bethléem : l’explosion d’une étoile massive en fin de vie ! S’il a existé, Jésus est donc né au printemps de l’an -5 avant… lui-même.

Mais ne nous précipitons pas trop vite pour conclure définitivement sur la nature de l’étoile. Les astrophysiciens ont identifié plusieurs mécanismes par lesquels une étoile peut exploser. Dans certains cas, l’explosion projette dans l’espace à très grande vitesse l’essentiel de la masse de l’étoile, qui émet du rayonnement électromagnétique observable longtemps après l’évènement. Ainsi, la célèbre nébuleuse du Crabe est le résidu de la supernova observée par les Chinois en 1054, et le résidu de la supernova de 1572, décrite par Tycho Brahé, est aussi identifié aujourd’hui. Mais, las ! on n’a pas observé à ce jour un résidu de cette nature pour l’évènement de l’an -5. Peut-être faut-il renoncer à l’image poétique d’une mort stellaire associée à une naissance ? Une modeste nova est peut-être une meilleure interprétation, comme l’ont suggéré F. Richard Stephenson et David H. Clark en 2005.

D’autres croisements entre évènements naturels et récits mythiques

Lorsque des textes religieux ou mythiques relatent des évènements naturels extraordinaires, on peut se demander si, au-delà du sens qui leur est donné dans le récit, ils ne font pas partie d’une mémoire collective ayant enregistré des phénomènes réels. Ce n’est certes pas toujours le cas : ainsi, lorsque le récit biblique nous apprend que Josué a commandé au soleil et à la lune d’arrêter leur course dans le ciel, le temps que son armée vainque ses ennemis à Gabaôn et dans la vallée d’Ayyalôn, il n’est pas nécessaire (aujourd’hui) de chercher une logique autre que littéraire à l’affirmation selon laquelle « le soleil se tint immobile au milieu du ciel et près d’un jour entier retarda son coucher » (Livre de Josué). Je précise « aujourd’hui », car l’argument fut utilisé par l’Église catholique au XVIe contre l’héliocentrisme de Copernic : si la Terre tournait autour d’un soleil fixe, la prière de Josué n’aurait pas de sens.

Mais prenons le cas du déluge. On retrouve un évènement dans la Bible, et aussi dans l’épopée d’Atrahasis (datant probablement du XVIIIe siècle av. J.-C.). Atrahasis est le héros sumérien équivalent de Noé. Dans la Bible, Yahvé se repend d’avoir créé une humanité dont il constate qu’elle est « méchante » et que son cœur « ne forme que de mauvais desseins à longueur de journée ». Dans l’épopée d’Atrahasis, les Anunnaku, dieux sumériens, trouvent que les hommes font trop de vacarme, et leur roi Enlil se plaint de ne pouvoir dormir tant ils sont bruyants. Les motivations pour se débarrasser de l’engeance humaine sont donc différentes dans les deux récits, mais les deux déluges sont très voisins – jusqu’au détail des oiseaux envoyés en reconnaissance quand les pluies s’arrêtent. Comment ne pas penser que cette montée des eaux emprunte à celle qui a suivi la fin de la dernière époque glaciaire, voici 20 000 ans ? Le niveau des mers est monté de 120 mètres en quelques milliers d’années, et des effets de seuil comme le déversement de la Méditerranée dans la mer Noire a dû laisser des traces dans les populations locales, jusqu’à ce que les grands auteurs de l’époque s’en emparent et y inscrivent leurs épopées ! 



Joyeux Noël

 Mon ami Thomas nous a envoyé cette petite chanson de Noël que lui et sa compagne interprètent :




jeudi 24 décembre 2020

Bingo de Noël

 Cochez 5 cases et tentez de trouver ce qui se dira le plus lors de ce réveillon :



mercredi 23 décembre 2020

Grande conjonction, suite

 Je sais bien que c'était lundi, mais de belles photos de cet événement astronomique continuent d'être publiées.

Très fort, qui dit grande conjonction dit Saturne et Jupiter, mais là en plus on voit leurs lunes principales :

Encore plus fort, avec un passage de l'ISS entre Saturne et Jupiter :
Auteur et droits photo : Matt Smith



Blague littéraire





5 lunes de Saturne

 Notez qu’on ne voit de Saturne qu’une partie de ses anneaux :




mardi 22 décembre 2020

Pesquet en terre inconnue

 J'ai revu avec plaisir ce soir le rendez-vous en terre inconnue avec Thomas Pesquet :
De bons moments :
Le village :
La soirée au cours de laquelle T. Pesquet partage son expérience dans l'ISS :



Ca se présente bien !

Webcams de la Feclaz à l'instant : 

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