De tout, un peu, au fil de l'eau. Et en ture pour de nouvelles avenroutes ! ......................................................................... (n'oubliez pas de cliquer sur 'Articles plus anciens' au bas de cette page)
mercredi 30 juin 2021
mardi 29 juin 2021
lundi 28 juin 2021
dimanche 27 juin 2021
Répartition de la surface terrestre
Impressionnante cette répartition de la surface terrestre :
En premier bien sûr ce sont les océans, qui se répartissent entre les eaux internationales (43%) et les eaux territoriales (27%). Puis la Russie 3,34%), l’Antartique (2,75%), le Canada (1,96%), etc je vous laisse lire.
samedi 26 juin 2021
vendredi 25 juin 2021
jeudi 24 juin 2021
mercredi 23 juin 2021
Najac
mardi 22 juin 2021
Reconstitution
lundi 21 juin 2021
dimanche 20 juin 2021
Deux chevaux
En mode vacances, je ne suis pas très actif sur mon blog (un peu plus sur Facebook).
samedi 19 juin 2021
lundi 14 juin 2021
dimanche 13 juin 2021
samedi 12 juin 2021
Selfie sino-martien
vendredi 11 juin 2021
Les chiffres de l'univers
1 Unité Astronomique ou U.A. : 149.597.870,691 km ou la distance Terre / Soleil.
1 Parsec : 3.2616 années-lumière 30.900 milliards de km.
Taille de l'univers observé : à 1 % près il est estimé à 13,77 milliards d’années-lumière
Premier photons émis : 380.000 ans après le Big Bang (le fond diffus cosmologique)
Nombre de Galaxies : 2.000 milliards
Nombre d’étoiles : soixante-dix mille millions de milliards de milliards (estimation).
Nombre de planètes : à ce jour inconnu mais très probablement égal ou supérieur aux nombres d’étoiles
Taille de la Voie Lactée : un diamètre d'environ 100.000 années-lumière (estimation).
Nombres d’étoiles dans la voie lactée : 200 milliards d'étoiles (estimation moyenne).
Distance du centre de la Voie Lactée : 26.673 années-lumière
Temps de révolution de notre Soleil autour de la Voie Lactée : 230 millions d'années. Le Soleil aurait ainsi déjà effectué 20 révolutions.
Vitesse du système Solaire dans la Voie Lactée : 720.000 km/h (200 km/s)
La Terre voyage à 107.000 km/h en moyenne (29,78 km/s). Nous parcourons ainsi pas moins de 2,6 millions de kilomètres par jour.
Le bras spiral le plus proche de nous : le bras du sagittaire à 1 000 années-lumière.
Distance de la Galaxie la plus proche : Andromède a 2,5 Millions d’années lumières. Elle se rapproche à environ 400.000 km/h (112 km/s).
Distance de l’étoile la plus proche : Alpha Centauri, un système triple distant de 4,4 années-lumière. Proxima Centauri est une naine rouge orbitant autour du couple à 0,2 année-lumière. Elle est donc l’étoile la plus proche de nous à 4,2 années lumières.
Les autres étoiles proches de nous : l’étoile de Barnard 6,0 années-lumière. Wolf 359 à 7,8 années-lumière. Lalande 21185 à 8,3 années-lumière. Sirius a 8,6 années-lumière. Luyten 726-8 à 8,7 années-lumière Ross 154 a 9,7 années-lumière. Tau Ceti à 11,9 années-lumière.
Dans une sphère de rayon de 125 années de lumière qui entoure la Terre depuis sa première émission de radio en 1896 il y a plus de 800 étoiles.
Nombres d’étoiles visible la nuit à l’œil nu entre 3.000 à 4.000 étoiles toutes dans la Voie lactée.
Un peu de pub
jeudi 10 juin 2021
Marguerite et Joseph Chary
Câbles
mercredi 9 juin 2021
Petits carreaux
Opération Ironside
Opération Ironside : un incroyable coup de filet mondial contre le crime organisé
ENQUETE Pendant trois ans, la police australienne et celles d’une vingtaine de pays ont pu tranquillement espionner des communications soi-disant sécurisées.
Un coup de filet mondial a eu lieu grâce au noyautage par le FBI et les polices de différents pays, de communications du crime organisé.- Un vaste coup de filet mondial contre le crime organisé a eu lieu ces dernières semaines, avec des centaines d’arrestations dans une vingtaine de pays.
- Plus de 11.000 téléphones piégés ont été écoulés, principalement dans les cercles criminels.
- « 20 Minutes » fait le point sur cette opération hors norme, après la conférence de presse donnée ce mardi matin par Europol.
Des centaines de suspects ont été arrêtés dans différents pays grâce à une opération présentée comme « la plus sophistiquée au monde » contre le crime organisé. Ce mardi matin, l’Office européen de police Europol, tenait une conférence de presse pour donner plus de détails sur cette opération globale. 20 Minutes fait le point sur cette enquête hors norme.
Comment les suspects ont-ils été piégés ?
Cette opération internationale impulsée par le FBI a été baptisée « Bouclier de Troie », ou Ironside. Elle reposait sur des portables cryptés appelés « AN0M » dont des suspects se servaient pour organiser des trafics de drogue, d’armes ou même des projets d’assassinats. Ce qu’ils ne savaient pas, c’est que ces appareils avaient été volontairement disséminés dans le cadre d’une opération d’infiltration dans les rangs de la mafia, de syndicats asiatiques du crime organisé, de cartels de la drogue, de gangs hors-la-loi de motards.
Les portables ne pouvaient s’acheter qu’au marché noir, pour environ 2.000 dollars et il fallait avoir, pour les activer, un code transmis par un autre utilisateur d’AN0M. « Un criminel devait connaître un autre criminel pour obtenir ce matériel », a expliqué la police australienne dans un communiqué. Celle-ci s’est appuyée sur des gens ayant de l’influence dans le milieu -y compris un individu soupçonné d’être un baron de la drogue en cavale en Turquie- pour disséminer l’appareil.
« Les appareils ont circulé et leur popularité a grandi parmi les criminels, qui avaient confiance dans la légitimité de l’application car de grandes figures du crime organisé se portaient garants de son intégrité », a poursuivi la police. L’application de messagerie, créée par le FBI, a permis à la police d’espionner toutes les conversations des suspects durant trois ans. Vingt millions de messages envoyés au total.
Quels pays étaient impliqués dans cette vaste opération ?
Ce mardi, les Etats-Unis, l’Australie, la Nouvelle-Zélande, mais aussi plusieurs pays d’Europe, ont révélé qu’ils contrôlaient l’application « AN0M ». « Au cours des 18 derniers mois, le FBI a fourni aux organisations criminelles plus de 300 appareils cryptés dans plus de 100 pays qui nous ont permis de surveiller leurs communications », a expliqué le directeur adjoint du FBI, Calvin Shivers, aux journalistes présents au siège d’Europol à La Haye.
Ceux en ayant reçu le plus sont l’Australie, l’Espagne, l’Allemagne et les Pays-Bas. « Plus de 700 lieux » ont été perquisitionnés a déclaré Jean-Philippe Lecouffe, directeur adjoint des opérations à Europol.
Combien de suspects cette opération a-t-elle permis d’arrêter ?
« Ces informations ont débouché au cours de la semaine dernière à des centaines d’opérations policières dans le monde, de la Nouvelle-Zélande à l’Australie en passant par l’Europe et les États-Unis, avec des résultats impressionnants », a indiqué Jean-Philippe Lecouffe.
En tout, ce sont plus de 800 personnes qui ont été arrêtées partout dans le monde. Rien qu’en Australie, 224 personnes ont été inculpées dans le cadre de cette opération qui, selon le Premier ministre australien Scott Morrison, « a infligé un coup dur au crime organisé dans ce pays, et qui aura un écho dans le monde entier ». La police néo-zélandaise, qui a fait état de 35 arrestations, notamment pour trafic de drogue et blanchiment d’argent.
Qu’a également permis cette vaste opération ?
Philippe Lecouffe a assuré qu’en parallèle des arrestations, 8 tonnes de cocaïne ont été saisies. En Australie, six laboratoires de fabrication de drogue ont été fermés, une grande quantité d’armes et 45 millions de dollars australiens (29 millions d’euros) en liquide ont été saisis.
Calvin Shivers, a également assuré que de 100 vies avaient été épargnées grâce à ces opérations.
mardi 8 juin 2021
lundi 7 juin 2021
Acrobates
En train de travailler sous notre balcon :
Ils ont fait deux façades aujourd'hui, les deux autres demain.
dimanche 6 juin 2021
samedi 5 juin 2021
Magasins de meubles
Truc à roses
vendredi 4 juin 2021
Nouvelles des copains, suite
Tout à leur honneur de porter le masque dans ces conditions :
Mais si ils sont seuls, qui a prix cette photo ?
AirTag par Que Choisir
Tile, Chipolo… Les porte-clés Bluetooth existent depuis des années, mais n’ont jamais créé de raz de marée commercial : ces petites balises ont bien du mal à prouver leur utilité. Apple s’est pourtant lancé dans la course avec ses AirTags. Décryptage et prise en main.
À quoi servent les porte-clés connectés ?
Tile, Chipolo, Wistiki… Ces petites balises connectées en Bluetooth à votre smartphone existent depuis des années. Elles permettent de remettre la main sur ses objets perdus. Vous pourrez localiser leur position sur une carte, les faire sonner, parfois même recevoir une alerte sur votre smartphone si vous vous en éloignez sans eux. Ils ont donc vocation à retrouver ses clés chez soi, mais trouvent vite leur limite puisque la balise doit être à portée du Bluetooth de votre smartphone pour que le système fonctionne. À moins qu’Apple ait trouvé la parade…
Puis-je localiser mon objet s’il est hors de portée de mon smartphone Bluetooth ?
Ces balises n’intègrent ni puce GPS, ni carte SIM. Il leur est donc impossible de communiquer si elles ne sont pas connectées en Bluetooth à un smartphone. Mais les fabricants ont imaginé des solutions pour contourner cette limitation. L’américain Tile, le plus connu d’entre eux, permet ainsi de localiser une balise en s’appuyant sur celles des autres utilisateurs de la marque qui ont, eux aussi, installé l’application Tile sur leur smartphone. Vos chances de retrouver vos objets perdus augmentent donc avec la communauté. Les AirTags fonctionnent exactement sur le même principe. À une différence près : la communauté d’Apple est sans commune mesure avec celle de Tile ! Elle se compte en centaines de millions d’utilisateurs d’iPhone, d’ordinateurs Mac, de tablettes iPad. Tous les appareils de la marque peuvent servir de relais. Notez que Tile ne démérite pas. Difficile d’évaluer précisément le nombre d’utilisateurs, mais l’entreprise américaine née en 2013 en annonce tout de même plus de 1 700 autour d’une balise située en un point de Seine-Saint-Denis.
Un AirTag permet-il réellement de retrouver un objet perdu ?
Avec un peu de chance, oui. Si votre objet est à portée Bluetooth de l’un de vos appareils Apple, la localisation précise est permanente (précisons que cette connexion est peu énergivore et n’entamera donc pas l’autonomie de votre iPhone). Mais si la connexion Bluetooth est rompue, les iPhone, Mac, iPad des utilisateurs qui se trouvent à proximité de votre objet prendront le relais pour localiser l’objet. Ces utilisateurs vous aideront sans même le savoir.
Les choses se compliquent si l’AirTag est perdu en rase campagne ou en forêt, où les utilisateurs d’iPhone sont forcément moins nombreux. Dans ce cas, la localisation depuis votre iPhone est bel et bien rompue. Mais vous pourrez activer le « mode perdu » de votre AirTag, prévu pour ce cas de figure. Dès lors, lorsqu’un iPhone passera à proximité, son propriétaire sera prévenu de la présence de l’AirTag et sollicité pour vous le rendre. Apple va même plus loin puisqu’un utilisateur de smartphone Android qui trouverait un AirTag peut lui aussi être utile : il lui suffit de passer son smartphone près de l’AirTag pour accéder au numéro de téléphone du propriétaire (son smartphone doit toutefois être compatible avec la technologie NFC). Avec un peu de bienveillance, et un peu de chance, ça peut marcher. Notez qu’un AirTag associé à un compte Apple n’a aucun intérêt pour la personne qui le trouve : il ne pourra pas s’en servir.
Puis-je utiliser un AirTag comme un antivol pour mon vélo ou ma voiture ?
L’AirTag est conçu comme un accessoire destiné à retrouver les objets égarés au quotidien, pas comme un antivol. Pour concevoir un produit respectueux de la vie privée, qui ne déclenche pas de notifications intempestives sur les iPhone environnants dès que le propriétaire s’en éloigne, n’accuse pas de pistage un ami à qui vous avez prêté vos clés, Apple a jonglé avec les algorithmes, dont il ne révèle d’ailleurs pas les détails (logique, mieux vaut que les voleurs ne sachent pas précisément comment ils fonctionnent…). Grâce au maillage d’Apple et au mode perdu, un AirTag pourrait s’avérer utile en cas de vol. Mais mieux vaut ne pas compter dessus.
Combien coûtent les AirTags ?
Les AirTags sont vendus soit à l’unité pour 35 €, soit en pack de 4 pour 119 € (soit 30 € chacun). Apple est plus cher que la concurrence, ce qui n’étonnera personne. Comptez 75 € pour un lot de 4 balises Tile et 50 € pour un pack de 3 balises Chipolo. Ajoutez à cela que contrairement à eux, les AirTags ne comportent pas de trou qui permettrait de les accrocher directement à un trousseau ou à une lanière de sac à dos. Il faudra acheter, en option, des porte-AirTags. Leur prix varie entre 14 € pour une version compatible en silicone à 45 € pour un modèle en cuir signé Apple. Le fabricant alourdit ainsi sérieusement la facture.
Les AirTags ne sont pas compatibles avec les smartphones Android ; sur les iPhone, la dernière version du logiciel interne, iOS 14.5, est nécessaire (cette version de l’OS est disponible pour les iPhone SE, SE 2020, 6S et suivants).
En quoi les AirTags se distinguent-ils des Tile ou des Chipolo, qui existaient déjà ?
Ils sont plus chers que ceux de la concurrence, mais comme d’habitude Apple parvient à se distinguer. Outre le maillage très dense d’utilisateurs Apple, qui augmente significativement les chances de retrouver un objet perdu, les AirTags sont parfaitement intégrés à l’écosystème Apple. Tile, Chipolo et les autres exigent l’installation d’une application sur son smartphone, qui veut accéder en permanence à votre localisation, vous envoie des publicités pour vous inciter à passer à un abonnement premium avec fonctions additionnelles, et ne sont pas forcément très ergonomiques. Chez Apple, tout se passe dans l’application Localiser, installée par défaut, et qui sert déjà à localiser vos appareils Apple, à les effacer à distance si vous les perdez, à localiser vos amis (s’ils sont consentants !). C’est plus intuitif, plus simple. Les AirTags sont également plus précis grâce à la technologie UWB (ultra wideband) qu’ils intègrent (ce degré de précision n’est atteint qu’avec les iPhone récents, iPhone 11 et suivants). Toutefois, contrairement aux modèles concurrents, les AirTags n’envoient pas d’alerte si vous partez sans vos clés ou sans votre sac à dos.
Quelle est l’autonomie des AirTags ?
Les AirTags fonctionnent avec une pile facile à remplacer (CR2032). En se basant sur une utilisation quotidienne de quatre demandes d’émission de son et une demande de localisation précise par jour, Apple annonce 1 an d’autonomie. L’utilisateur reçoit une alerte quand il est temps de la changer.
Chipolo Classic, Tile Mate, Samsung SmartTag… La majorité des trackers Bluetooth fonctionnent avec cette même pile CR2032. Ce n’est pas le cas des modèles au format carte de crédit comme le Tile Slim ou le Chipolo Card, destinés à être glissés dans un portefeuille. Une fois leur batterie à plat, ils seront bons… pour la poubelle. Pas terrible côté écologie.
Les AirTags peuvent-ils être détournés pour pister quelqu’un ?
Non. Un AirTag est lié au compte Apple de son propriétaire. Si quelqu’un glisse dans votre sac un AirTag qui lui appartient, avec dans l’idée de suivre vos déplacements, vous recevrez un message d’alerte d’Apple. Vous pourrez alors le désactiver à l’aide des instructions proposées.
Samsung propose lui aussi un tracker, le SmartTag. Quelles différences avec l’AirTag ?
Le SmartTag est l’équivalent chez Samsung de l’AirTag d’Apple. Il permet de remettre la main sur l’objet auquel il est accroché lorsqu’il est à portée Bluetooth. L’application SmartThings sert d’interface pour le localiser sur une carte, le faire sonner ou le déclarer comme perdu. Dans ce cas, c’est la communauté Samsung qui est appelée à l’aide. Les appareils Galaxy passant à proximité captent le signal du SmartTag, qui informe alors le propriétaire de la localisation. Comme chez Apple, les maillons du réseau, membres de la communauté Samsung, n’ont pas accès aux informations de la balise. Ils ont juste permis au propriétaire de la retrouver, sans le savoir.
Samsung a lancé une nouvelle version, le SmartTag+, qui intègre désormais l’UWB (ultra wideband) pour offrir une localisation très précise de l’objet. Apple guide l’utilisateur jusqu’à son objet avec un système de flèche, Samsung va encore plus loin en s’appuyant sur la réalité augmentée. Mais cette fonction n’est pour l’instant disponible que sur les Galaxy Note 20 Ultra, S21+ et 21 Ultra.
En résumé, les AirTags valent-ils le coup ?
Au quotidien, les AirTags pourront s’avérer utiles aux personnes qui égarent régulièrement leurs clés chez eux. Ils rassureront celles qui craignent de perdre leur sac, et donneront une chance de retrouver une valise si elle se perd dans des transferts d’aéroports. Mais mieux vaut habiter (ou perdre ses affaires) en zone urbaine pour maximiser ses chances de retrouver un objet perdu… Et ces AirTags restent cantonnés aux utilisateurs d’iPhone. Donc s’offrir des AirTags pourquoi pas, mais c’est investir dans un produit dont on espère ne jamais avoir à se servir.
jeudi 3 juin 2021
Soignants face au Covid
Je souhaite partager ici ce que le médecin urgentiste Mathias Wargon a tweeté hier :
Ca se présente bien !
Webcams de la Feclaz à l'instant :
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