mardi 28 février 2012

Blasted church

Un collègue de Vancouver avec qui j'étais en rendez-vous aujourd'hui, m'a offert une bouteille de vin de là bas.
Drôle de nom le vin, "Blasted Church", l'église explosée :
Merci Paul !

Rose bleu


lundi 27 février 2012

dimanche 26 février 2012

Rochasson

Promenade à pied de Saint Mury au chateau de Rochasson :
On commence par le labyrinthe.
Leeloo est de la partie.
Une pause.
Le fameux chateau.


Une passerelle (ci-dessus) sur un gué (ci-dessous) :

Les ombres de Kirill et Olya.
Kirill.
olya
Bien sage, le lierre (?) a contourné la fenêtre.
De retour à St Mury, on arrive juste à temps pour le coucher du soleil.

samedi 25 février 2012

Cachette

Avec le beau temps qui revient, nous avons sorti les arbres de leur planque d'hiver sur le balcon. Surprise, on a trouvé des noix dans la terre des pots. Il semble que notre écureuil n'emporte pas forcément toutes les noix qu'on lui donne, il en planque aussi.

mardi 21 février 2012

Etonnant !

Je ne suis pas assez expert en économie pour exprimer un avis sur les dires du dénommé Lavagna ci-dessous, mais l'histoire semble lui avoir donné raison.


L'ancien ministre de l'Economie argentin, Roberto Lavagna, a sorti son pays de la crise en 2002, en se passant des services du FMI. Il préconise la même solution pour la Grèce.

Recueilli par GÉRARD THOMAS, à Buenos Aires  
L'ancien ministre de l'Economie argentin Roberto Lavagna, 69 ans, est le principal artisan du redressement de l'Argentine engluée dans une terrible crise économique il y a dix ans. Lorsqu'il prend ses fonctions, en avril 2002, le peso vient d'être dévalué de 70%, le pays est en cessation de paiement, la dette privée s'élève à plus de 72 milliards d'euros, l'inflation annuelle flirte avec les 125% par an, le chômage explose, les petits épargnants sont ruinés et les troubles sociaux ont déjà fait plus de 30 morts dans le pays. Cet ancien ambassadeur auprès de l'Union européenne décide immédiatement de se passer de « l'aide » du Fonds monétaire international (FMI) et des marchés financiers. Quelques pistes à suivre pour la Grèce.

Quelles sont les grandes similitudes entre la crise argentine de 2001-2002 et la crise grecque ?
Au plan économique, tout est semblable. L'Argentine avait établi une parité fixe entre le peso et le dollar, la Grèce est ficelée à l'euro, perdant ainsi le contrôle de sa monnaie. Un taux de change fixe associant des pays à forte productivité et d'autres dont la compétitivité est beaucoup plus faible ne peut qu'engendrer une crise. La Grèce est déjà dans sa quatrième année de récession, l'Argentine l'était également. Le déficit fiscal, le déficit des comptes courants, la chute vertigineuse du PIB, l'endettement, l'explosion du chômage... toutes les grandes données macro-économiques sont similaires. En revanche, la situation sociale de la Grèce est bien meilleure que celle de l'Argentine à l'époque. Au plan institutionnel, l'Argentine était par ailleurs un pays isolé alors que la Grèce fait partie de l'ensemble économique le plus puissant du monde.
Comment avez-vous tiré l'Argentine du chaos ?
Dès mon entrée en fonction, en avril 2002, j'ai décidé de changer radicalement notre manière de penser la sortie de crise.. Le mois suivant, j'étais à Washington pour rencontrer les dirigeants du Fonds monétaire international et leur expliquer que nos rapports allaient s'en ressentir. Depuis le début du marasme économique, en 1998, nous avions déjà eu deux programmes du Fonds pour un total de 51 milliards d'euros. Les deux ont été des échecs retentissants et certaines voix s'élevaient pour demander une troisième tournée de quelque 17 milliards supplémentaires.
Je n'ai pas voulu suivre cette voie et j'ai expliqué au Fonds que nous ne voulions plus de prêt et que nous sortirions seuls de la crise. La seule chose que j'ai demandé était un roll over partiel de toutes les échéances. Je me suis également engagé à payer les intérêts de la dette et une partie du capital. Mais pas tout et pas tout de suite. Cette position était tout simplement impensable pour le FMI car nous affichions notre volonté de fixer nous même notre propre politique économique. J'ai du leur expliquer trois fois de suite ma position avant qu'ils finissent par comprendre. A partir de là nous avons arrêté de soutenir financièrement les banques alors que le FMI nous l'imposait, exigeant même que nous privatisions la Banque de la Nation. Mais comme nous étions sorti du jeu, le Fonds n'avait plus de moyen de pression sur l'Argentine!
Vous avez donc oeuvré contre le FMI et vos principaux créanciers ?
Le sorties de crise se font en dehors des chemins tracés par le FMI. Cette institution propose toujours le même type de contrat d'ajustement fiscal qui consiste à diminuer l'argent qu'on donne aux gens - les salaires, les pensions, les aides publiques, mais également les grands travaux publics qui génèrent de l'emploi - pour consacrer l'argent économisé à payer les créanciers. C'est absurde. Après 4 ans de crise on ne peut pas continuer à prélever l'argent aux mêmes. Or c'est exactement ce qu'on veut imposer à la Grèce! Tout diminuer pour donner aux banques. Le FMI s'est transformé en une institution chargée de protéger les seuls intérêts financiers. Quand on est dans une situation désespérée, comme l'était l'Argentine en 2001, il faut savoir changer la donne.
Selon vous les plans d'austérité et de rigueur ne sont pas nécessaires mais c'est pourtant ce qu'on impose à la Grèce...
A tort car l'argent prêté risque de ne jamais être remboursé et le déficit fiscal grec est plus élevé aujourd'hui qu'avant la première injection d'argent frais. Ce sont les mêmes éternelles erreurs. C'est le secteur financier qui impose sa manière de voir les choses au monde entier. On préfère sauver les banques plutôt que les gens qui ont des crédits immobiliers à rembourser. La première chose qu'on a faite nous, c'est de rallonger les échéances pour les propriétaires endettés. Les fonctionnaires du FMI nous ont alors dit que nous violions les règles essentielles du capitalisme! Ils oubliaient simplement que des gens ruinés ne consomment plus, ce qui obère une relance par la croissance.
Au lieu de payer les banques, la Grèce devrait investir dans l'éducation, les sciences et la technologie, financer des infrastructures et récupérer ainsi une certaine productivité, ne serait-ce que dans les secteurs des services ou du tourisme.
Vous devez avoir beaucoup d'ennemis chez les banquiers...
Ils me détestent! Ce qui ne les a pas empêché de frapper à notre porte pour nous prêter de l'argent 48 heures exactement après que nous avons terminé la restructuration de notre dette en 2005! Or j'ai refusé ces offres intéressées en leur répondant que nous ne reviendrons pas sur le marché financier avant 2014 car nous n'en avons plus besoin. Pourquoi 2014, simplement parce qu'a cette époque la dette sera seulement de 30% du PIB, la moitié des critères européens de Maastricht! Je pense qu'un pays comme l'Argentine ne doit pas être tout le temps présent sur le marché financier. C'est un risque beaucoup trop grand d'augmenter à nouveau la dette. Le problème c'est que ce sont les banquiers eux-mêmes qui estiment qu'il est positif pour l'image d'un pays d'emprunter à l'international. Il est clair que si je vendais des tomates, je trouverai très bien qu'on en mange! Eux ils vendent de l'argent.

vendredi 17 février 2012

Promenade autour de St Mury

Objectif : aller voir si le petit torrent qui borde le côté est de St Mury est toujours gelé :
Réponse : oui, il est gelé, mais uniquement par endroits. 

Evidemment, les garçons veulent casser la glace. 
Leur Papounet leur a bien dit de ne pas marcher dessus.

Mais elle résiste (la glace). 
Après avoir finalement réussi à en casser un bout, Paul nous montre pourquoi c'était difficile : elle fait dans les 10 cm d'épaisseur !!! 

Leeloo fait la sieste


jeudi 16 février 2012

Ski à Chamrousse

Grand beau temps au sommet, nuages à la station.

Nos 3 skieurs, prêts à descendre.










Comme leur Papounet a mal au pied dans les chaussures de ski, il a décidé d'essayer le snowscoot.
Les enfants ont voulu aussi essayer.







Je suis un peu tombé au début, mais ça se maîtrise assez vite en fait
Après le ski, nous avons assisté à un petit concert de jazz, dans la galerie commerciale où se trouve le magasin de location.

Pour voir la vidéo, et entendre la musique, cliquez sur le triangle :

Une super après-midi !!!

... depuis 160 ans

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