jeudi 30 avril 2020

Quatre vingt deux


J'ai posté 82 posts sur ce blog lors de ce mois d'avril 2020, là où j'en poste entre 25 et 40 par mois d'habitude.

Confinement créatif !





Abécédaire

Vu lors de notre promenade quotidienne, cet abécédaire peint sur un mur, probablement par les élèves de l'école d'à côté :








Musique en confinement

Encore deux beaux exemples de musique réalisée en confinement.

D'abord une réalisation de Florian Martinet avec 500 choristes (oui, 500), Florian Martinet dont j'ai déjà posté sur ce blog quelques réalisations marquantes (Pink Floyd The Wall, Silence on joue, Arrête ta comédie et The Beatles Harmony notamment) :

Puis une réalisation du groupe "Green Vibes" composé de salariés de Schneider Electric :


Sympa !





Umoriste à découvrir

Oui, j'ai pas mis de 'h' à humoriste, c'est une référence pour initiés et une marque de reconnaissance.

Ma découverte du jour c'est Tim Charix, de son vrai nom Timothée Chary, qui est le fils de mon cousin Ivan (Ivan Chary donc, suivez un peu svp).

Je vous invite à découvrir ses productions via sa page Facebook :
https://www.facebook.com/timcharx/

Tim a, entre autres, ce rare don de savoir faire rire en une image. Quelques exemples :






mercredi 29 avril 2020

La Terre vue de Mars

Photo prise par le petit robot Curiosity :
Droits photo : Curiosity / NASA






Gâteaux anti-stress

Vu sur Facebook, ce dessin de Timothée Chary, le fils de mon cousin Ivan :
Auteur : Tim CHARX (son nom d'artiste)




Montre ultra plate

Vu sur le site du Point :



Piaget dévoile la montre mécanique la plus plate du monde





Chabi Nouri : « Avec l'Altiplano Ultimate Concept, large de 2 mm seulement, nous avons probablement poussé les limites de l'ultraplat pour un bon moment »

C'est une pièce exceptionnelle. Une sylphide gracile, large de 2 mm, qui fait la fierté de la manufacture de La Côte-aux-Fées. Et pour cause, celle qui fut présentée, il y a deux ans, sous forme de projet fou repousse les limites de la miniaturisation. Impressionnante, mais fragile : ses composants d'une épaisseur microscopique la vouaient alors aux musées et au papier glacé des magazines. Elle rejoint pourtant ces jours-ci le catalogue de la maison. Chabi Nouri, Président-Directeur Général de Piaget, revient sur cet exploit.


Le Point Montres : Plusieurs manufactures revendiquent le titre de « montre la plus fine ». Quel record détient l'Altiplano Ultimate Concept ?

Chabi Nouri : Piaget a toujours été le spécialiste de l'ultraplat. Depuis ses débuts, la maison a créé d'abord des composants, puis des montres d'une finesse incontestable ! Dès 1957 est lancé le mouvement mécanique 9P, réputé comme un des plus fins du monde (à l'époque) avec ses 2 mm d'épaisseur. En 1960, le mouvement automatique 12P devient officiellement le plus fin du monde. Dès lors, Piaget n'a cessé d'innover et de repousser les limites dans ce domaine avec la création de mouvements squelettes ultrafins, sertis de diamants, par des calibres automatiques, chronographe, dates, etc., mais toujours au service de l'esthétique, du design et de l'élégance. La collection Altiplano ne fait pas exception à la règle. En 2018, nous avons ainsi dévoilé le projet fou d'une montre mécanique d'à peine 2 mm. Après deux ans supplémentaires de développement (six au total !), ce rêve est devenu réalité. L'Altiplano Ultimate Concept perpétue ainsi la tradition de la maison et rejoint désormais le rang des montres exceptionnelles de Piaget en tant que montre mécanique la plus plate disponible sur le marché.



Il fait plaisir à voir

Visiblement, cette compétition est un plaisir pour ce border collie :






Le lac de Paladru depuis un drone

Des images du Lac de Paladru filmé le 26 avril 2020 pendant le confinement : des plages désertes, aucun voiliers ni embarcation de pêche, mais toujours ces couleurs uniques qui caractérisent le lac de Paladru surnommé le Lac Bleu, du fait de son fond tapissé de craie.






Trump désinfecté

Suite aux "conseils" de Donald Trump d'injecter du désinfectant pour se débarrasser du Covid 19, voici quelques images humoristiques liées :

Donald -> Donald duck -> canard -> Canard WC :
Il a aussi suggéré un traitement aux UV :
 Genre Mr propre :






mardi 28 avril 2020

Maman léopard et son bébé

Histoire de se changer les idées, on regarde "Félins" sur la 2, avec des lions, des guépards, des léopards...

Ça m'a fait penser à cette extraordinaire photo d'une maman léopard et son bébé :





Emma en Australie

Emma était alternante aux Petites Pierres quand j'y étais. Depuis elle est partie en Australie avec son copain, alternant maintenant travail et tourisme itinérant.

Elle nous a récemment envoyé de jolies photos :



Pour ceux qui se demandent, il s'agit du "Pinnacles desert".



Voleurs pas futés

Vu sur le site de 20 Minutes :


Gironde : Les voleurs oublient leur attestation de sortie sur place avec leur adresse

CAMBRIOLAGE  Les gendarmes n’ont vraiment eu aucun mal à les retrouver


Un véhicule de la gendarmerie (illustration).
Un véhicule de la gendarmerie (illustration). — ALLILI MOURAD/SIPA

C’est sûrement l’une des affaires les plus simples que les gendarmes de la Gironde ont jamais eu à résoudre. Des voleurs qui leur laissent leurs coordonnées après un vol. Cela s’est produit vendredi dernier en fin de journée dans une boutique d’une propriété viticole du Pian-sur-Garonne, près de Saint-Macaire, au sud du département.
Trois voleurs ont en effet oublié leur attestation de déplacement sur les lieux après leur larcin, rapporte Sud Ouest. Ils venaient de dérober… 40 euros dans la caisse ! Pris en flagrant délit par le responsable, ils ont fui sur le moment en laissant donc sur place leur adresse.
Les forces de l’ordre se sont immédiatement rendues à l’adresse indiquée pour cueillir les trois hommes âgés respectivement de 36, 41 et 46 ans. Placés en garde à vue plusieurs heures, ils devront bientôt répondre de leur acte devant le tribunal correctionnel.




Parcours pour hérisson

Vu sur LAD Bible, ce gars qui a créé un parcours genre Ninja Warrior pour son hérisson apprivoisé :
Avec les commentaires type sportif et les ralentis des meilleures actions, on s'y croirait.

Trop mignon !





dimanche 26 avril 2020

Coucher de soleil rose






Visite

Une petite visite à ma Maman, avec toutes les précautions possibles :








Starlink

Pour ceux qui ont loupé le spectacle en vrai, voici ce que vous auriez du voir :





Tchernobyl + 34

Il y a tout juste 34 ans, le 26 avril 1986 à 1 heure et 23 minutes du matin, le réacteur numéro 4 de la centrale V. I. Lénine située à proximité du village de Tchernobyl dans la république socialiste soviétique d'Ukraine explose, les retombées radioactives dues à l'accident seront 100 à 200 fois supérieur aux bombes d'Hiroshima et Nagasaki et contamineront gravement de larges pans des territoires Ukrainien et Biélorusse pour des siècles. Le nuage fera le tour du monde et on estime qu'aujourd'hui encore 1% de la radioactivité présente dans l'air proviendrait de l'accident.

Igor Kostine; un reporter de RIA Novosti (une des agences de presse soviétique) est le premier à survoler la centrale éventrée en hélicoptère, il en ressortira cet unique cliché (ci-dessous) le seul au monde pris le jour de la catastrophe, son aspect granuleux est lié aux radiations extrêmement élevées. Les appareils du photographe vont d'ailleurs rapidement cesser de fonctionner et toutes ses autres photographies ressortiront totalement noires.






Jean-Michel Beau

Le Lieutenant-Colonel Jean-Michel Beau, que j'ai eu l'honneur de côtoyer dans les années 1980 puis dans les années 2010, est décédé d'un cancer jeudi dernier.

Voici ce qu'Edwy Plenel, avec lequel il a beaucoup travaillé sur la grande affaire de sa vie, celle dite des Irlandais de Vincennes, a écrit vendredi dans son blog sur Mediapart :



" Le lieutenant-colonel Jean-Michel Beau n’est plus. Décédé jeudi 23 avril, il incarnait le courage ordinaire de la vérité. Sans son aide, nous n’aurions pu, avec Georges Marion, révéler sous la présidence Mitterrand l’affaire des Irlandais de Vincennes et le scandale de la Cellule de l’Elysée.
Emporté à 76 ans par un cancer, au centre hospitalier de Lunel dans l’Hérault, Jean-Michel Beau fait partie de ces morts éclipsés par la comptabilité macabre du Covid-19. Il avait quitté la gendarmerie nationale en 1988 avec le grade de lieutenant-colonel. Mais, pour moi, il restera toujours le commandant Beau, son grade en 1982, lors de l’affaire dite des Irlandais de Vincennes, quand il était chef de la section de recherches de Paris-Minimes.
J’ai fait sa connaissance un soir du printemps 1985, en compagnie de Georges Marion, à l’époque au Canard Enchaîné, avec qui j’enquêtais en tandem et qui me rejoindra par la suite au Monde (lire son témoignage ici)« Bonjour ennemi ! » : ce fut sa formule de bienvenue. Alors en poste à la Direction de la protection de la sécurité de la défense (DPSD, aujourd’hui DRSD), l’ancienne Sécurité militaire, il avait voulu cette discrète rencontre parce qu’il avait décidé de se battre. Avec l’aide, s’il le fallait, de ses pires ennemis : les journalistes dont les révélations avaient compromis sa carrière.
Jean-Michel Beau sur le plateau d'Apostrophes en 1989 © DRJean-Michel Beau sur le plateau d'Apostrophes en 1989 © DRTrois ans auparavant, à l’été 1982, Paris avait été ensanglanté par une vague d’attentats terroristes liés au Proche-Orient dont le plus meurtrier fut l’attaque antisémite du restaurant de Jo Goldenberg, figure de la communauté juive, rue des Rosiers. En réaction, François Mitterrand, élu chef de l’État un an plus tôt et premier président issu de la gauche sous la Cinquième République, annonça la création à ses côtés, au sein même de l’Elysée, d’une mission de coordination de l’anti-terrorisme confiée à un « super-gendarme », Christian Prouteau, ex-patron du GIGN, l’unité d’élite de la gendarmerie. Quelques jours plus tard, le 28 août 1982, la présidence de la République saluait, d’un communiqué tonitruant, des « arrestations importantes dans les milieux du terrorisme international ». L’opération avait été menée à Vincennes, dans la banlieue Est de la capitale, sous les ordres du capitaine Paul Barril, l’inséparable bras-droit de Prouteau. En guise de terroristes internationaux, trois militants républicains irlandais – Michael Plunkett, Stephen King et Mary Reid –, membres d’une organisation de gauche dissidente de l’IRA. Ils seront emprisonnés durant neuf mois, jusqu’à ce que cette fable s’effondre et que la procédure à leur encontre soit annulée. Car ce n’était rien d’autre qu’un montage pour faire du chiffre et impressionner l’opinion.
Non seulement les trois Irlandais n’avaient rien à voir avec les attentats, mais les supposées preuves matérielles – armes, explosif – avaient été apportées et déposées dans leur appartement par les gendarmes du GIGN venus les interpeller. Pour étouffer le scandale, il fallait un bouc-émissaire. Ce fut Jean-Michel Beau qui, en tant qu’officier de police judiciaire, avait cautionné la procédure de Vincennes alors qu’elle était toute entière irrégulière. Il avait agi par esprit de corps et de discipline, respectant l’injonction qui lui avait été faite que cette affaire devait tenir, coûte que coûte. Injonction venue directement de l’Élysée, où siègeait le chef constitutionnel des armées, et relayée complaisamment par une hiérarchie gendarmique ravie d’y avoir damé le pion à la police nationale.
Mais, à partir de 1985, Jean-Michel Beau refusa de porter seul un chapeau qui n’était évidemment pas le sien. Sa rébellion nous permit, avec Georges Marion, d’aller jusqu’au bout de cette histoire, en révélant la chaîne d’irresponsabilité qui avait conduit à ce fiasco lamentable via un ancien sympathisant égaré de la cause républicaine irlandaise, Bernard Jégat. Son point de départ se situait, hélas, au sein d’une rédaction, celle du Nouvel Observateur, où l’on avait préféré jouer les supplétifs du pouvoir étatique, en transmettant avec empressement à l’Elysée un tuyau crevé, plutôt que de faire son travail de journaliste, en vérifiant et en enquêtant.
Son livre paru en 1989, un an après son départ de la gendarmerieSon livre paru en 1989, un an après son départ de la gendarmerieDans cette débâcle, qui donnait crûment à voir les pathologies de ce présidentialisme qui gangrène toujours notre vie publique, le commandant Beau a sauvé l’honneur. Celui de son arme, à laquelle il restait fidèle fût-ce contre sa hiérarchie, et celui de la République, dont il défendit une haute idée qui ne s’accommodait ni du mensonge ni de la servilité. Il le fit en se battant contre lui-même tant tout son monde s’était effondré, celui d’un homme d’ordre et de discipline, d’un militaire contraint, pour son salut, d’affronter solitairement la lumière de la vérité après avoir été aveuglé par obéissance. C’est peu dire qu’il en paya le prix. Jusqu’à son dernier souffle, ses douleurs furent incommensurables, que ne suffisaient pas à apaiser les hommages rendus à son audace. Car, sans lui, nous n’aurions pu dévoiler toute la part d’ombre de la présidence de François Mitterrand. Sortie de route initiale des « gendarmes du Président » comme on les surnommait – les professionnels aguerris préféraient dire : ses « pieds nickelés » –, l’affaire des Irlandais fut en effet le fil qui nous mena jusqu’au cabinet noir qu’était la « cellule » de l’Élysée. Sous couvert d’antiterrorisme, elle était chargée de surveiller, espionner, écouter – écouter surtout et beaucoup –, les citoyens et citoyennes qui avaient le tort de déplaire à François Mitterrand ou d’inquiéter son entourage.
Au nom du Président, comme en monarchie l’on aurait dit « au service du Roi », et bien sûr en toute illégalité. Quand, en 2004 et 2005, eut lieu le procès des écoutes de l’Élysée, Jean-Michel Beau crut tenir sa revanche. Partie civile, il ne manqua aucune audience de ce marathon judiciaire – près de quatre mois – dont la tenue n’avait été rendue possible que par la disparition du principal donneur d’ordre, François Mitterrand lui-même. Il espérait trouver une réhabilitation par la condamnation de ses persécuteurs. Préfets ou généraux, ils furent bien condamnés, à de courtes peines de prison avec sursis et à de faibles amendes, ne faisant d’ailleurs même pas appel tant les faits les accablaient. Mais le commandant Beau n’en fut pas moins amer.
Car, s’en tenant à sa saisine restrictive – la violation de l’intimité de la vie privée –, le tribunal considéra dans son jugement que les écoutes incidentes dont le commandant avait fait l’objet – notamment lors de ses conversations avec des journalistes, Marion ou moi pour l’essentiel – ne concernaient « en rien l’intimité de sa vie privée ». La justice qui avait voulu le rendre coupable de l’affaire des Irlandais lui refusait, au final, le statut de victime auquel il avait droit.
Dans Le journaliste et le Président (Stock, 2006), où j’ai réuni tous mes écrits sur le long feuilleton de cette affaire d’État, j’écris à la toute fin ceci : « Le commandant Beau – selon son grade de 1982, quand sa vie a basculé – devrait rester serein. Le concernant, ce que la justice n’a pas pu ou n’a pas su dire, l’histoire l’a déjà dit et écrit. À l’opposé des allégeances et des soumissions, il aura incarné ce courage ordinaire qui sauve les principes et laisse périr les privilèges. »Journalistes, nous ne sommes rien sans nos sources. Ce sont elles qui prennent les vrais risques et qui, parfois, ne s’en remettent jamais. Adieu Jean-Michel, et merci. "
Source et auteur : Edwy Plenel


samedi 25 avril 2020

Soupe de fanes de radis

La voici en préparation :
C'est moi qui l'ai faite !




Progress MS-14

Lancement ce matin à 3H51 depuis Baïkonour au Kazakhstan du lanceur Soyouz emportant le cargo spatial Progress MS-14 avec 2,5 tonnes de fret à destination de l'ISS. Arrimage 3 heures et 21 minutes plus tard.

Quelques (superbes) photos :











Crédits photos : SPUTNIK ROCOSMOS




Le Progress MS-14 a acheminé vers l’ISS 2,5 tonnes de fret, notamment des denrées alimentaires, des médicaments, des fournitures sanitaires, ainsi que des appareils nécessaires pour mener des expériences.
Le fret contient également 650 kilogrammes de combustible, 46 kilogrammes d’oxygène et 420 kilogrammes d’eau potable.
L’équipage actuellement à bord de l’ISS comprend deux cosmonautes russes, Anatoli Ivanichine et Ivan Vagner, et l’astronaute américain Christopher Cassidy.
Il s’agit du sixième lancement spatial réalisé par la Russie en 2020. Au total, 33 lancements sont prévus cette année.



Comme d'habitude, tout était retransmis en direct, preuve de la maîtrise du process par les russes.

Le décollage :

L'arrimage, un peu plus de 3 heures après :




vendredi 24 avril 2020

Le business plan de Mr Sylvestre

Un sketch des Guignols d'il y a 20 ans qui raisonne curieusement aujourd'hui :






Les plus belles photos prises par Hubble

Il y a 30 ans jour pour jour, le télescope spatial Hubble était lancé par la navette Discovery depuis le centre spatial Kennedy en Floride :

Voilà à quoi il ressemble Hubble :

Et depuis, il a pris des millions de photos, dont voici une sélection des meilleures :


Une de mes préférées, la galaxie dite Sombrero :  
La plus belle de toutes, les Piliers de la Création : 









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