Dîner avec nos amis Victoria et Jacques-Noël au Fantin-Latour :
Ce restaurant est tenu par un ancien élève (disciple ? ) de Marc Veyrat. Son inspiration culinaire vient des montagnes. Du coup, tous ses plats sont décorés de fleurs et plantes des montagnes, qui se mangent !
Nous avons pris le menu Echappée Belle, "Le Chef vous propose une ballade en 8 temps soit 8 créations qu'il choisira pour vous faire découvrir sa cuisine". Bref, un menu qui change tous les jours. Nous n'avons pas pris des photos de tous les plats, mais voici ci-dessus un couscous aux légumes.
Croquant d'artichauts avec truffe d'été et crumble de pain.
Pintade avec sauce au café.
Homard aux baies de cassis.
Le dessert, tarte craquante aux fraises, sabayon de je ne sais plus quoi, mais très bon, et quelques plantes et fleurs.
Pas de moustiques bien que nous dînions à l'extérieur, un astucieux système constitué d'un lampadaire, d'une araignée et de sa toile les attrape tous.
Le restaurant, vu de l'extérieur.
Voilà ce qu'en dit le Gault et Millau :
Ce restaurant est tenu par un ancien élève (disciple ? ) de Marc Veyrat. Son inspiration culinaire vient des montagnes. Du coup, tous ses plats sont décorés de fleurs et plantes des montagnes, qui se mangent !
Nous avons pris le menu Echappée Belle, "Le Chef vous propose une ballade en 8 temps soit 8 créations qu'il choisira pour vous faire découvrir sa cuisine". Bref, un menu qui change tous les jours. Nous n'avons pas pris des photos de tous les plats, mais voici ci-dessus un couscous aux légumes.
Croquant d'artichauts avec truffe d'été et crumble de pain.
Pintade avec sauce au café.
Homard aux baies de cassis.
Le dessert, tarte craquante aux fraises, sabayon de je ne sais plus quoi, mais très bon, et quelques plantes et fleurs.
Pas de moustiques bien que nous dînions à l'extérieur, un astucieux système constitué d'un lampadaire, d'une araignée et de sa toile les attrape tous.
Le restaurant, vu de l'extérieur.
Voilà ce qu'en dit le Gault et Millau :
L'aventure est au coin de la rue et certains Grenoblois ne la connaissent pas encore. Stéphane Froidevaux, nouveau quatre toques du paysage national, vit son métier sans se cacher mais dans un esprit communautaire qui fait venir les disciples plus qu'il ne recherche l'évangélisation. Pour faire simple, un repas au Fantin Latour, c'est une démarche volontaire vers des plats uniques, personnels, inspirés par la nature et les diverses façons de l'habiller. Ici et nulle part ailleurs vous goûterez le mariage du chénopode et du shiitaké avec des artichauts croquants et les parfums de la truffe d'été, le homard bleu aux arômes de cassis et d'absinthe sauvage, le carré d'agneau cuit dans une écorce de mélèze aux parfums envoutants de forêt montagneuse, les rognons en brioche avec un jus de fleur de prunelle sauvage. Cette ode au naturel semble si évidente qu'elle en devient très dépaysante, les tarifs sont d'une douceur également rare, et la cave est aussi joliment construite, avec des vignerons qu'on ne peut qu'apprécier, les cadors de l'époque (Chidaine, Marjorie Gallet, Tollot Beaut, Germain...) et d'autres à découvrir. Service exactement dans le ton, détendu, précis sans afficher une trop grande sûreté, disponible et souriant.
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